Cette semaine, je suis déguisé, une nouvelle fois pour mon plus grand plaisir, en professionnel au volant du petit frère du Peugeot Parner (lire l’essai), le Citroën Berlingo.

Le visuel extérieur permet une identification immédiate du modèle électrique et c’est très bien.

Intérieurement, aucune différence avec le Peugeot Parner si ce n’est le GPS qui trône au milieu de la planche de bord, peut-être un peu trop haut d’ailleurs, peut gêner la visibilité vers l’avant pour certaines manœuvres.

On apprécie vraiment la banquette trois places si pratique, ainsi que la commande de boite si idéale. On apprécie également la vitre à l’arrière des sièges qui isole thermiquement et phoniquement le poste de conduite du fourgon de chargement.
La tenue de route est vraiment bonne, toujours le silence et l’absence de vibration bien sur, peut-être pour les puriste un bruit de roulement, qui est sans doute fonction de la marque des pneumatiques. Le frein moteur (qui permet la récupération d’énergie) est vraiment efficace et ralentit vraiment le véhicule. A tel point qu’il est souvent inutile de freiner en ville. Dès lors, on se demande s’il ne faudrait pas prévoir un allumage des feux stops arrières.

L’autonomie est bonne en ville, je n’ai pris l’autoroute cette fois … (Lire ici) Le raccordement aux bornes autolib’ est simplifié avec le raccordement depuis l’aile avant droite, en tout cas plus aisé que sur le Kangoo (Lire ici).

Comptons 170 kilomètres sans recharger, mais avec l’abonnement “Véhicules privés” proposé par Autolib’, rouler en région parisienne avec ce véhicule n’est plus un problème. (Lire ici l’article correspondant)

Le prix du modèle essayé dépasse les 31 000 euros TTC auxquels il faut déduire le bonus écologique. Il faut également prendre en note que la marque ne facture pas chaque mois la location de la batterie comme Renault (en autre).
